Depuis 2009, Miassine accompagne les jeunes talents de l’ensemble musical « Nouveaux Noms d’Arménie », fondé par Silva Mekinian.
Ces artistes talentueux, âgés de 8 à 22 ans, se produisent en Arménie et en Suisse, valorisant à la fois la musique classique et le patrimoine musical arménien.
Lors de tournées en Suisse (Genève, Yverdon, Clarens, OMPI), ces jeunes partagent leur art, créent des liens entre cultures, et vivent des expériences enrichissantes : concerts, rencontres, visites culturelles.
Leur musique devient un langage universel de résilience, de paix et d’espoir.
Piano
Chant
Qanoun
Chant
Duduk
Violin
Flûte
Qanoun
Le 26 novembre 2024, les jeunes prodiges du programme “Nouveaux Noms d’Arménie” ont offert un concert exceptionnel à Genève, au WIPO Conference Hall, sous le haut patronage de l’Ambassade d’Arménie en Suisse.
Ce moment musical, dédié au 100e anniversaire de Charles Aznavour, a réuni musique classique, jazz et folklore arménien, avec des œuvres de Khatchatourian, Brahms, Babajanian et Piazzolla.
À travers ses expositions, concerts et projets artistiques, la Fondation Miassine incarne une vision puissante de la culture comme outil de résilience, de dialogue et de transformation sociale.
Des concerts « Nouveaux Noms d’Arménie », qui rassemblent de jeunes musiciens talentueux pour valoriser le patrimoine musical, aux expositions telles que « Art et Artisanat au Féminin » ou « Créer pour Vivre », Miassine donne une voix aux artistes souvent invisibilisés : réfugiés d’Artsakh, femmes, personnes en situation de handicap ou jeunes en quête de reconnaissance.
Dans l’espace communautaire Alamaison à Gyumri, chaque œuvre exposée devient un acte de mémoire et un pont entre passé et avenir. Ce lieu vivant accueille aussi ateliers de création, cercles de poésie, représentations artistiques et moments d’échange qui participent au renouveau culturel de la ville, autrefois capitale de l’art et de l’artisanat.
Par ces actions, la Fondation ne se contente pas de montrer l’art : elle le partage, le rend accessible, et le fait vivre comme une expérience collective, un acte de reconstruction personnelle et sociale. L’art devient ainsi, chez Miassine, un langage universel de résilience, de paix, d’espoir — et un moteur d’inclusion et d’avenir.
